Son histoire
Ayant toujours eu une passion pour les mots et un amour pour la poésie, Marie-Claude Bissonnette se lance dans la publication de ce premier récit qui romance la moitié de sa vie et qu’elle dédie à ses deux filles.
« J’ai voulu me raconter, décrire mes images. J’avais peur d’oublier. Alors pourquoi pas écrire, pour arrêter le temps, immortaliser, et rendre éternel un moment, une année et pourquoi pas toute une vie. Cette vie m’avait enlevé mon amour un an auparavant, j’avais un mobile. Mon livre a donc pris vie, pour vaincre la mort et défier le temps. J’ai compris, je me suis souvenue et tout s’est expliqué. Avec des sauts dans le temps pour mettre en lumière certains moments et pour en oublier d’autres. Dans chaque chapitre un nouveau paysage, de nouveaux personnages. »
Avec ce récit en prose ponctué de chapitres frôlant fable et poésie, l’histoire de Marie-Claude devient celle du lecteur, car nous connaissons tous une grand-maman cuisinière, une petite gripette ou un joueur de foot. Et personne ne veut les oublier.
Quatrième de couverture
Marie. Quarante-cinq ans. Autrefois dentiste, belle-maman, conjointe. Maintenant veuve, retraitée et invalide. Toujours maman, fille, sœur, amie. Elle est effrayée Marie. Effrayée de ne jamais pouvoir retrouver l’amour. Quand on perd quelque chose de si important, la quête et son retour deviennent une mission. Elle passe sa vie en revue. Toute petite, dans la cave à vin de son papa ; à l’âge adulte, diplômée. Elle se revoit tenant la main de celui qu’elle doit laisser partir pour toujours et en lisant les textos de celui qui lui donnera l’espoir que l’amour ne meurt jamais. La vie et le deuil, l’amour et la rupture. Au bord d’un lac, les mains dans un bol de bonbons, sur un plancher de danse. En sentant la pivoine, le vent glacé de la montagne ou la douceur sucrée du macaron, elle se rappelle. Et si c’était en resongeant à notre passé que notre avenir devenait plus clair ? Parviendra-t-elle à reprendre son souffle, à retenir le temps ? Car souffle le vent et passe le temps. Et si grâce à la poésie, la boucle de notre vie se ficelait plus facilement ? Parce qu’à la fin, on aura tous vécu les mêmes choses. Alors aussi bien rêver, vivre et aimer ; et mettre de bons souliers, parce qu’il ne faut jamais arrêter de marcher.
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